Les pions de Washington colportent des mensonges sur le "travail forcé" (COMMENTAIRE) - Xinhua - french.news.cn

Les pions de Washington colportent des mensonges sur le "travail forcé" (COMMENTAIRE)

French.news.cn | 2022-07-19 à 13:51

BEIJING, 19 juillet (Xinhua) -- Certains groupes de réflexion américains qui prétendent être indépendants et objectifs ont longtemps servi d'auxiliaires de Washington, qui est de plus en plus autoritaire pour faire avancer ses programmes politiques intéressés. Leur dernière collusion en date vise à faire un nouveau battage médiatique autour du prétendu "travail forcé" dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, en Chine.

Après l'entrée en vigueur de "l'Acte de prévention du travail forcé des Ouïgours", ces établissements de recherche ont rapidement publié leurs "conclusions" sur le Xinjiang afin d'appuyer les accusations sans fondement de Washington, révélant ainsi la nature déplorable de ces instituts, complices de l'Etat américain pour contenir la Chine.

Une opinion typique de cette rhétorique illogique de dénigrement est que les multinationales pourraient soutenir sans le savoir le "travail forcé" au Xinjiang en important des produits d'entreprises chinoises ayant leur siège dans d'autres régions de Chine.

Tous ces "résultats de recherche" sont basés sur le prétendu "travail forcé" au Xinjiang, une prémisse fictive, un mensonge stupéfiant et un stratagème insidieux.

Le coton du Xinjiang a été une cible majeure de cette campagne de dénigrement. Grâce au haut degré de mécanisation de l'industrie du coton au Xinjiang, il n'y a pas besoin de trop de main-d'œuvre, sans parler de "travail forcé". En 2021, le taux de mécanisation de la récolte du coton dans la région a dépassé 80%. Quant au semis du coton, le taux de mécanisation global dans la plupart des zones de la région dépasse 98%.

Parallèlement, la loi chinoise interdit catégoriquement le travail forcé. En fait, les personnes de toutes les ethnies du Xinjiang bénéficient d'une liberté et d'une égalité totales en matière de travail et d'emploi. Leurs droits au travail sont effectivement protégés conformément à la loi et leur niveau de vie a connu une amélioration constante.

De 2014 à 2021, le revenu disponible des habitants urbains de la région est passé de 23.000 yuans (environ 3.430 dollars) à 37.600 yuans (environ 5.600 dollars), et celui des habitants ruraux est passé d'environ 8.700 yuans (environ 1.300 dollars) à 15.600 yuans (environ 2.330 dollars). A la fin de 2020, plus de 3,06 millions de personnes du Xinjiang sont sorties de la pauvreté.

Le battage médiatique du soi-disant "travail forcé" au Xinjiang se fait au mépris total du droit international. La Convention sur le travail forcé de 1930 de l'Organisation internationale du travail a clairement défini le "travail forcé". Mais les politiciens et les groupes de réflexion américains ont mal interprété par malveillance ce concept et en ont fait une arme pour diffamer l'autrui.

Comme l'a avoué publiquement Lawrence Wilkerson, chef du cabinet de l'ancien secrétaire d'Etat Colin Powell, la meilleure façon pour la CIA de déstabiliser la Chine serait de "fomenter des troubles" au Xinjiang. Le soi-disant "travail forcé" fournit à Washington une excuse pour atteindre cet objectif.

L'autre objectif méprisable des Etats-Unis en répandant le mensonge du "travail forcé" au Xinjiang est l'exclusion de la Chine des chaînes d'approvisionnement mondiales.

La Chine est le plus grand fabricant mondial de panneaux photovoltaïques (PV). Elle dispose d'une capacité installée supérieure à celle de tout autre pays. Le Xinjiang abrite la base de production la plus importante au monde de polysilicium, un matériau essentiel de l'industrie PV. En fabriquant un tel mensonge, les Etats-Unis veulent atteindre leur sinistre objectif de supprimer l'avantage concurrentiel de l'industrie PV du Xinjiang et de la délocaliser hors de Chine par le biais de la manipulation politique.

De plus, à propos du travail forcé, les Etats-Unis devraient réfléchir sur leur propre histoire et leur propre réalité. Ils n'ont toujours pas ratifié la Convention sur le travail forcé de 1930, la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant et la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'encontre des femmes. Chaque année, près de 100.000 personnes sont entrées clandestinement aux Etats-Unis pour y être soumises au travail forcé. Aujourd'hui, il y a au moins un demi-million de personnes réduites en esclavage dans le pays.

La manipulation par Washington de la question du "travail forcé" pour contenir la Chine ne peut que se retourner contre les Etats-Unis et nuire au monde entier. Cette manœuvre a perturbé l'ordre commercial international et a gravement mis en danger la sécurité des chaînes d'approvisionnement mondiales, qui sont déjà fragiles et vulnérables.

Washington et ses pions, en particulier les groupes de réflexion, doivent savoir que les mensonges relatifs au Xinjiang qu'ils ont concoctés ne porteront pas atteinte à la stabilité, à l'unité et au développement harmonieux du Xinjiang et ne feront pas taire les voix justes de la communauté internationale.

Et si les Etats-Unis veulent vraiment faire quelque chose pour lutter contre le travail forcé dans le monde, ils devraient peut-être commencer par se livrer à un sérieux examen de conscience. Fin

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