L'idée de peindre un immense acacia, dont les branches s'étendent sur une centaine de mètres sur la façade du pavillon, résulte de plusieurs consultations auprès des pays africains installés dans le pavillon collectif, a fait savoir Chen Jingtian, ajoutant que cet arbre transmettait le message d'un continent de "l'espoir" et de "l'opportunité".
Après 300 jours de construction et de finitions, le pavillon collectif de l'Afrique se donne, avec les efforts conjoints des pays africains et de onze opérateurs chinois, une taille sans précédent : 26 000 m², avec 250 m² pour chaque pays participant.
Par ailleurs, grâce au soutien financier chinois, la Somalie a pu participer pour la première fois à l'exposition universelle, et le Niger, la Guinée équatoriale et le Libéria reviennent après une dernière apparition lors de l'Exposition universelle 1967 de Montréal.