(Multimédia) (COVID-19) Le variant Omicron plus dangereux aux Etats-Unis en raison d'un faible taux de vaccination (média)

French.xinhuanet.com | Publié le 2022-01-21 à 03:48

Un homme marche dans une rue de Manhattan à New York, aux Etats-Unis, le 19 janvier 2022. (Xinhua/Wang Ying)

NEW YORK, 20 janvier (Xinhua) -- Le faible taux de vaccination contre la COVID-19 aux Etats-Unis est une raison évidente pour que le variant Omicron soit "plus susceptible de tuer des Américains", a indiqué mardi le site d'information américain Daily Beast.

Certains pays ont traversé la vague d'Omicron avec relativement peu de cas graves ou de décès malgré la hausse du nombre d'infections, selon le journal, citant Singapour et l'Afrique du Sud comme exemples.

Les Etats-Unis, eux, n'ont pas connu le même degré de "découplage" entre les infections et les décès, principalement car seuls 63% des Américains sont complètement vaccinés et 37% ont reçu une dose de rappel, a poursuivi le Daily Beast.

"Ce qui est inquiétant, c'est qu'une fois que (le virus) se propagera parmi les couches les plus âgées (de la population), les hospitalisations et les décès pourraient grimper", a déclaré Edwin Michael, épidémiologiste au Centre de recherche mondiale sur les maladies infectieuses de l'Université de Floride du Sud. Fin

 
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(Multimédia) (COVID-19) Le variant Omicron plus dangereux aux Etats-Unis en raison d'un faible taux de vaccination (média)

French.xinhuanet.com | Publié le 2022-01-21 à 03:48

Un homme marche dans une rue de Manhattan à New York, aux Etats-Unis, le 19 janvier 2022. (Xinhua/Wang Ying)

NEW YORK, 20 janvier (Xinhua) -- Le faible taux de vaccination contre la COVID-19 aux Etats-Unis est une raison évidente pour que le variant Omicron soit "plus susceptible de tuer des Américains", a indiqué mardi le site d'information américain Daily Beast.

Certains pays ont traversé la vague d'Omicron avec relativement peu de cas graves ou de décès malgré la hausse du nombre d'infections, selon le journal, citant Singapour et l'Afrique du Sud comme exemples.

Les Etats-Unis, eux, n'ont pas connu le même degré de "découplage" entre les infections et les décès, principalement car seuls 63% des Américains sont complètement vaccinés et 37% ont reçu une dose de rappel, a poursuivi le Daily Beast.

"Ce qui est inquiétant, c'est qu'une fois que (le virus) se propagera parmi les couches les plus âgées (de la population), les hospitalisations et les décès pourraient grimper", a déclaré Edwin Michael, épidémiologiste au Centre de recherche mondiale sur les maladies infectieuses de l'Université de Floride du Sud. Fin

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