Des médias occidentaux et leur préjugés antichinois compulsif (COMMENTAIRE)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-10-18 à 12:28

BEIJING, 18 octobre (Xinhua) -- Les médias occidentaux prétendent être impartiaux et axés sur les faits. Mais lorsqu'il s'agit de la Chine, la volonté de mettre de côté l'éthique journalistique et de manipuler la vérité est désormais d'une évidence ennuyeuse.

Ces derniers mois, un certain nombre de grands médias occidentaux ont continué à faire tourner leurs machines à dénigrer. Ils choisissent soit de se faire l'écho d'idées fausses sur le bilan de la Chine en matière de droits de l'homme, véhiculées par des politiciens ignorants, soit d'inventer simplement des histoires, comme l'étrange théorie de la "fuite du laboratoire de Wuhan". Cette fois-ci, le sujet du jour est LinkedIn.

En début de semaine dernière, la BBC, le New York Times et le Financial Times ont déformé une décision de LinkedIn tout en faisant l'apologie de la "disparition de la Chine" de la plate-forme de réseau socio-professionnel, donnant l'impression erronée selon laquelle la compagnie avait décidé de quitter le marché chinois.

Ces médias ont vite déchanté. LinkedIn a démenti ces affirmations sur son compte officiel Weibo et a qualifié ces dires de "faux". Plus tard, le premier vice-président de LinkedIn, Mohak Shroff, a déclaré en ligne que "nous continuerons à travailler avec les entreprises chinoises pour aider à créer des opportunités économiques".

Cet incident constitue une preuve de supplémentaire que certains médias occidentaux, avec leur emprise mondiale dominante, sont à l'affut de la moindre occasion de diaboliser la Chine et de tromper l'opinion publique sur tous les sujets la concernant.

Dans le cas de LinkedIn, la presse occidentale a tenté de convaincre les investisseurs mondiaux que la Chine est un environnement hostile aux entreprises étrangères. Ce que ces médias ne réalisent pas, c'est que la Chine n'est pas devenue la deuxième plus grande économie du monde en refusant les entreprises étrangères.

A leur grande déception, leur vicieuse campagne de désinformation visant à creuser un fossé entre les investissements étrangers et la Chine a échoué.

En fait, une majorité d'entreprises occidentales restent confiantes dans l'économie chinoise et son marché de plus en plus ouvert.

Dans un rapport annuel sur les affaires en Chine publié en septembre par la Chambre de commerce américaine à Shanghai, 77,9% des 338 entreprises américaines interrogées se sont déclarées "optimistes" ou "légèrement optimistes" quant aux perspectives commerciales d'ici cinq ans en Chine, soit un score proche des 80% enregistrés entre 2015 et 2018.

Plus de 82% des répondants prévoyaient des revenus plus élevés en 2021 qu'en 2020, les secteurs les plus confiants étant les produits pharmaceutiques, les dispositifs médicaux et les sciences de la vie, l'automobile, l'électronique non grand public et les fabricants industriels.

Le vent semble tourner contre toute cette couverture négative.

De plus en plus de personnes dans le monde, et certains journalistes occidentaux eux-mêmes, commencent à s'indigner et à être dégoûtés par cette représentation négative habituelle de la Chine.

Javier Garcia, chef du bureau de l'agence de presse espagnole EFE à Beijing, a récemment annoncé qu'il allait bientôt quitter le journalisme, car la manipulation flagrante des informations sur la Chine par les médias occidentaux "m'a retiré une bonne dose de l'enthousiasme que j'avais pour cette profession".

Dans le monde d'aujourd'hui, les pays sont de plus en plus interconnectés et interdépendants. Et face à des défis mondiaux aussi redoutables que la pandémie de COVID-19 ou le changement climatique, ils doivent tous se rassembler en une seule communauté s'ils veulent surmonter ces crises.

Pourtant, les médias occidentaux continuent de produire et de colporter des mensonges, ce qui nuit à la confiance et à la solidarité indispensables entre les nations du monde, tout en stimulant la haine, le chaos et l'hostilité.

La BBC et le New York Times jouissaient autrefois d'une excellente réputation, mais une couverture trop partiale et trompeuse de la Chine a sérieusement érodé leur crédibilité.

Les organes d'information occidentaux devraient cesser d'invoquer les principes journalistiques d'impartialité et uniquement au faits pour commencer à rapporter la vérité sur la Chine. Fin

 
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Des médias occidentaux et leur préjugés antichinois compulsif (COMMENTAIRE)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-10-18 à 12:28

BEIJING, 18 octobre (Xinhua) -- Les médias occidentaux prétendent être impartiaux et axés sur les faits. Mais lorsqu'il s'agit de la Chine, la volonté de mettre de côté l'éthique journalistique et de manipuler la vérité est désormais d'une évidence ennuyeuse.

Ces derniers mois, un certain nombre de grands médias occidentaux ont continué à faire tourner leurs machines à dénigrer. Ils choisissent soit de se faire l'écho d'idées fausses sur le bilan de la Chine en matière de droits de l'homme, véhiculées par des politiciens ignorants, soit d'inventer simplement des histoires, comme l'étrange théorie de la "fuite du laboratoire de Wuhan". Cette fois-ci, le sujet du jour est LinkedIn.

En début de semaine dernière, la BBC, le New York Times et le Financial Times ont déformé une décision de LinkedIn tout en faisant l'apologie de la "disparition de la Chine" de la plate-forme de réseau socio-professionnel, donnant l'impression erronée selon laquelle la compagnie avait décidé de quitter le marché chinois.

Ces médias ont vite déchanté. LinkedIn a démenti ces affirmations sur son compte officiel Weibo et a qualifié ces dires de "faux". Plus tard, le premier vice-président de LinkedIn, Mohak Shroff, a déclaré en ligne que "nous continuerons à travailler avec les entreprises chinoises pour aider à créer des opportunités économiques".

Cet incident constitue une preuve de supplémentaire que certains médias occidentaux, avec leur emprise mondiale dominante, sont à l'affut de la moindre occasion de diaboliser la Chine et de tromper l'opinion publique sur tous les sujets la concernant.

Dans le cas de LinkedIn, la presse occidentale a tenté de convaincre les investisseurs mondiaux que la Chine est un environnement hostile aux entreprises étrangères. Ce que ces médias ne réalisent pas, c'est que la Chine n'est pas devenue la deuxième plus grande économie du monde en refusant les entreprises étrangères.

A leur grande déception, leur vicieuse campagne de désinformation visant à creuser un fossé entre les investissements étrangers et la Chine a échoué.

En fait, une majorité d'entreprises occidentales restent confiantes dans l'économie chinoise et son marché de plus en plus ouvert.

Dans un rapport annuel sur les affaires en Chine publié en septembre par la Chambre de commerce américaine à Shanghai, 77,9% des 338 entreprises américaines interrogées se sont déclarées "optimistes" ou "légèrement optimistes" quant aux perspectives commerciales d'ici cinq ans en Chine, soit un score proche des 80% enregistrés entre 2015 et 2018.

Plus de 82% des répondants prévoyaient des revenus plus élevés en 2021 qu'en 2020, les secteurs les plus confiants étant les produits pharmaceutiques, les dispositifs médicaux et les sciences de la vie, l'automobile, l'électronique non grand public et les fabricants industriels.

Le vent semble tourner contre toute cette couverture négative.

De plus en plus de personnes dans le monde, et certains journalistes occidentaux eux-mêmes, commencent à s'indigner et à être dégoûtés par cette représentation négative habituelle de la Chine.

Javier Garcia, chef du bureau de l'agence de presse espagnole EFE à Beijing, a récemment annoncé qu'il allait bientôt quitter le journalisme, car la manipulation flagrante des informations sur la Chine par les médias occidentaux "m'a retiré une bonne dose de l'enthousiasme que j'avais pour cette profession".

Dans le monde d'aujourd'hui, les pays sont de plus en plus interconnectés et interdépendants. Et face à des défis mondiaux aussi redoutables que la pandémie de COVID-19 ou le changement climatique, ils doivent tous se rassembler en une seule communauté s'ils veulent surmonter ces crises.

Pourtant, les médias occidentaux continuent de produire et de colporter des mensonges, ce qui nuit à la confiance et à la solidarité indispensables entre les nations du monde, tout en stimulant la haine, le chaos et l'hostilité.

La BBC et le New York Times jouissaient autrefois d'une excellente réputation, mais une couverture trop partiale et trompeuse de la Chine a sérieusement érodé leur crédibilité.

Les organes d'information occidentaux devraient cesser d'invoquer les principes journalistiques d'impartialité et uniquement au faits pour commencer à rapporter la vérité sur la Chine. Fin

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