Une étude française réfute l'origine du SRAS-CoV-2 dans une grotte chinoise (Sputnik)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-10-13 à 14:02

MOSCOU, 12 octobre (Xinhua) -- Une nouvelle étude française a écarté une grotte du comté de Mojiang, dans la province du Yunnan (sud-ouest de la Chine), comme origine du SRAS-CoV-2, le virus provoquant la COVID-19.

L'étude, publiée en ligne dans la revue Environmental Research fin septembre, a également réfuté les spéculations des laboratoires qui lient le virus à plusieurs mineurs ayant travaillé dans le comté en 2012.

Une analyse rétrospective de leurs rapports cliniques a montré que ces mineurs avaient présenté des symptômes très différents de ceux des patients atteints de COVID-19, a rapporté l'agence de presse Sputnik.

"Il faut également se demander pourquoi un virus qui a tué plus de 5 millions de personnes et en a infecté plus de 200 millions en 18 mois n'a provoqué aucune maladie en sept ans, de 2012 à 2019", peut-on lire dans l'étude.

"Le rejet de la théorie de la mine de Mojiang laisse l'hypothèse de la fuite du laboratoire sans aucun support scientifique, ce qui en fait simplement un récit fondé sur une opinion", y est-il mentionné. Fin

 
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Une étude française réfute l'origine du SRAS-CoV-2 dans une grotte chinoise (Sputnik)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-10-13 à 14:02

MOSCOU, 12 octobre (Xinhua) -- Une nouvelle étude française a écarté une grotte du comté de Mojiang, dans la province du Yunnan (sud-ouest de la Chine), comme origine du SRAS-CoV-2, le virus provoquant la COVID-19.

L'étude, publiée en ligne dans la revue Environmental Research fin septembre, a également réfuté les spéculations des laboratoires qui lient le virus à plusieurs mineurs ayant travaillé dans le comté en 2012.

Une analyse rétrospective de leurs rapports cliniques a montré que ces mineurs avaient présenté des symptômes très différents de ceux des patients atteints de COVID-19, a rapporté l'agence de presse Sputnik.

"Il faut également se demander pourquoi un virus qui a tué plus de 5 millions de personnes et en a infecté plus de 200 millions en 18 mois n'a provoqué aucune maladie en sept ans, de 2012 à 2019", peut-on lire dans l'étude.

"Le rejet de la théorie de la mine de Mojiang laisse l'hypothèse de la fuite du laboratoire sans aucun support scientifique, ce qui en fait simplement un récit fondé sur une opinion", y est-il mentionné. Fin

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